samedi 4 septembre 2010

The Football Factory




J'ai mal. Et ce n'est pas dû au fait que je dois utiliser mon cerveau pour trouver une introduction à cet article, mais bien parce que je viens de me prendre une baffe cinématographique. La claque a un nom, elle s'appelle The Football Factory. Il s'agit d'un film de production britanique, du réalisateur Nick Love, aussi réalisateur de The Business (2005) et The firm (2009).

L'histoire est raconté par Tommy Johnson, un hooligan, supporter du club de foot de Chelsea. Tommy et ses amis traitent la vie de façon légère, préférant se concentrer sur les différents délits qui ponctuent leurs journées. Mais depuis un certain temps, Tommy est en proie à des rêves macabres. Sont-ils prémonitoire ou est ce que Tommy perd tout simplement les pédales ?

Je pense qu'il est maintenant clair que j'aime les britanniques. J'aime leur musique, leurs films, leurs acteurs, leurs séries, mais avant tout j'aime leur humour. The Football Factory mélange de l'humour de films de gangsters, de l'humour potache, avec une pointe de cynisme, qui fait penser à un de mes films cultes, Fight Club. Comme dans ce dernier, les personnages sont en marge de la société dites "normale", dans les deux, le personnage est tiraillé psychologiquement, et surtout, comme dans le chef-d'oeuvre de David Fincher, les personnages cherchent désespérément une bataille, un conflit pour donner un sens à leur vie. Les comparaisons ne s'arrêtent pas là, mais si je vous laisse le plaisir de les découvrir vous-même.

The Football Factory est violent, sale, mais surtout, il a un style bien définit dans lequel je suis comme un poisson dans l'eau. Je vous conseille vivement ce film, à condition que vous soyez en age de visionner ce genre de film qui, je le rappelle, est déconseillé aux moins de seize ans.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire